Cette série suit les aventures de Bo, jeune succube élevée par des parents adoptifs humais dans ma complète ignorance des traditions de son peuple, les Fae. En fuite depuis des années, incapable d’assumer son mode d’alimentation, elle finit par entre en contact avec la société des siens. Celle-ci divisée en deux camps : la lumière et l’ombre. Bo refuse de choisir un camp, malgré qu’elle soit devenue très proche de Dyson, un lycanthrope de la lumière. Elle reste donc neutre et, installée comme détective privé, elle intervient dans des affaires liées aux deux camps, avec l’aide de son faire-valoir : Kenzi, une jeune humaine aux tendances kleptomanes.
Lost girl est un mélange d’urban fantasy et de bit-lit. Elle reprend donc un environnement déjà développé avec succès dans beaucoup de séries et de romans.
Bo est une héroïne forte et indépendante, aux pouvoir extraordinaires. Dont les influence des séries comme True Blood, ou des personnages comme Anita Blake on pu aider pour la création de cette série.
Par contre ne vous attendez pas à des vampires dans cette série. C’est justement ce qui la différencie des autres du genre. A la place, toutes sortes de Faes, divisées en deux camps avec des règles bien strictes. Bo découvrira tout ce au cours de la saison 1.
A défaut d’originalité, la série possède toutefois un capital sympathique non négligeable, qui rend les épisodes agréables à regarder.
Je ne l’ai pas encore dit mais j’adore cette série, même si pour moi le personnage secondaire Kenzi est ma préfère.
Sans oublier Dyson, comment l’oublier ?
La série fait preuve d’un sens de l’humour et du politiquement incorrect assez rafraîchissant, comme le prouvent le bon nombre d’échanges entre Bo et Kenzi.
Record d’audience pour le câble canadien lors de sa diffusion du coup une saison 2 arrive et j’ai hâte.
Car vous aurez vu le dernier épisode de la saison vous comprendrez pourquoi.
Aller-y foncez !!!
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